Quand la médecine chinoise devient de l’Art - Partie 2

Par Nicolas Berger

Comme nous l’avons vu dans l’article précédent, la vision des prescriptions classiques (Jīng Fāng 经方) des Dr Hú Xī Shù et Féng Shì Lún, est complètement indépendante du système méridien. Cette manière de prescrire la pharmacopée se propose de comprendre la pharmacopée au travers de l’étude du Shāng Hán Zá Bìng Lùn (伤寒杂病论).

Une des particularités de ce système est de comprendre, au travers l’étude des symptômes, la localisation de la pathologie. Il existe « six canaux, Liù Jīng (六经) » (que nous appelons « six systèmes »)

 

 

 

 

Nous avions, dans le premier article présenter de manière théorique ce que pouvait représenter ces six systèmes. Je vous propose maintenant de découvrir comment ils s’utilisent dans la pratique clinique.


Souvenez-vous, nous avions débuté notre étude avec un cas clinique que voici :

Patient : Garçon de 10 ans, 140 cm, 28 kg.

Motif de consultation : faible fièvre depuis 3 jours, à 37,8°C, toux avec mucosités.

Rappel des symptomes : bouche amère, gorge sèche, toux, mucosités collantes, nez bouché, éternuements, transpiration, dysphorie-agitation (c’est-à-dire une forme de nervosité/agitation).

Langue : pointe rouge, enduit blanc, légèrement glissant.

Traitement :

Dǎng Shēn 党参 (Radix Codonopsitis Pilosulae) 10g, Chái Hú 柴胡 (Radix Bupleuri) 15g, Huáng Qín 黄芩 (Radix Scutellariae Baicalensis) 9g, Zǐ Sū Yè 紫苏叶 (Folium Perillae Frutescentis) 10g, Qīng Bàn Xià 清半夏 (Rhizoma Pinelliae Ternatae) 9g, Zhì Gān Cǎo 炙甘草 (Radix Glycyrrhizae Praeparata) 9g, Má Huáng 麻黄 (Herba Ephedrae) 6g, Shēng Shí Gāo 生石膏 (Gypsum Fibrosum) 18g, Chén Pí 陈皮 (Epicarpium Citri Reticulatae) 10g, Chǎo Kǔ Xìng Rén炒苦杏仁 (Semen Pruni Armeniacae) 10g,  Shēng Jiāng 生姜 (Rhizoma Zingiberis) 9g, Dà Zǎo 大枣 (Fructus Zizyphi Jujubae) 15g

Prescription : 3 doses, 1 dose par jour, prise en deux fois. Au bout de 2 jours, soit après 2 doses, la mère de l’enfant rapporte : « Il n’y a plus de fièvre ni d’agitation, et la toux a presque disparu. Dois-je lui donner la dernière dose ? » Le tableau pathologique ayant changé et le problème étant résolu à plus de 80%, il lui est conseillé de ne pas poursuivre.


Dans l’article précédent nous avons compris que la méthode des prescriptions classiques repose sur trois aspects fondamentaux :

  1. la localisation de la pathologie selon le système du Shāng Hán Lùn 伤寒论 des six systèmes
  2. Sur l’utilisation des huit principes (Bā Gāng 八纲)
  3. Sur l’étude des syndromes/prescriptions (Fāng Zhèng 方证)

 

A partir de là, voyons quelle est la démarche pour faire un diagnostic et choisir le bon traitement selon la méthodologie des prescriptions classiques .

Première étape : la localisation

 
Commençons donc par localiser où se situe la pathologie :

bouche amère, gorge sèche, toux, mucosités collantes, nez bouché, éternuements, dysphorie/agitation, fièvre basse avec transpiration.

Vous apprendrez au travers de l’étude du Shāng Hán Lùn que certains symptômes sont représentatifs de la localisation de la pathologie à un certain « niveau » dans l’organisme.

Le nez bouché, les éternuements sont dans la grande majorité des cas associés, dans ce système, à « une surface », notre « coquille d’œuf » dont nous parlions dans la première partie de l’article, c’est-à-dire une pathologie encore située au Biǎo 表.

Il est important de noter que dans le système que nous étudions, le nez bouché et les éternuements, que nous parlions de symptômes aigus survenus récemment ou bien chroniques, signent dans la majeure partie des cas un "Biǎo", une « atteinte externe ». Cela implique que la pathologie est située à la surface et qu’il nous faudra donc employer des prescriptions dont le principe de traitement consiste à libérer la surface (Jiě Biǎo 解表). Notons que dans la pratique du système des Jīng Fāng nous employons fréquemment des grandes prescriptions classiques telles que Guì Zhī Tāng (桂枝湯) et Má Huáng Tāng (麻黃湯). Ceci est dû au fait que nous les comprenons comme des formules qui traitent un « niveau », un « système » et dont l’usage n’est donc plus limité aux seuls traitements des rhumes et des grippes saisonnières.

Par ailleurs, cet enfant souffre d’une dysphorie-agitation (Fán Zào 烦躁), c’est-à-dire une forme de nervosité interne, d’agitation, de sensation de mal-être. Une des caractéristiques de la chaleur, lorsqu’elle est présente dans le corps, est sa faculté à produire des phénomènes d’énervement, d’excitation, de nervosité. Dans le Shāng Hán Lùn, lorsque l’agitation est grande, elle est représentative d’une chaleur du Yáng Míng 阳明, c’est-à-dire une « chaleur plénitude dans l’interne ».

Pour finir, la bouche amère et la gorge sèche sont des signes d’une « chaleur en haut ». Cette chaleur, lorsqu’elle est associée à un vide, du centre par exemple, est significative des pathologies mi-externe/mi-interne (Bàn Biǎo Bàn Lǐ 半表半里). Bien qu’il n’y ait ici aucun élément démontrant ce vide, une faiblesse digestive par exemple, en clinique la présence de la bouche amère suffit souvent en clinique pour orienter la prescription vers un mi-externe/mi-interne.

Nous comprenons donc que ce patient se retrouve dans un cadre où la pathologie qui a débuté à l’extérieur pénètre de plus en plus vers l’interne en impliquant l’espace intermédiaire du mi-externe/mi-interne. La pathologie se situe donc dans les trois niveaux que sont la « surface », « le mi-externe/mi-interne » et « l’interne ».

Comment expliquer les autres symptômes ? La toux collante, la transpiration, et la fièvre ? Hormis la toux collante qui implique une notion de mucosités, ces symptômes ne peuvent être considérés comme discriminant de l’implication d’un système. A l’inverse du nez bouché avec éternuement, la bouche amère que nous avons évoqués précédemment, la transpiration elle, peut être vu dans une atteinte externe comme dans une atteinte interne. Elle n’est donc pas en elle même discriminante de l’atteinte d’un système. Ici, l’ensemble de ces symptômes devront être compris en fonction des six systèmes déjà diagnostiqués.

L’art de la clinique réside principalement dans la faculté du thérapeute de donner du sens aux symptômes qu’il observe. Il doit, après les avoir récoltés, les comprendre dans une logique de système, pour en comprendre la signification clinique. Pour nous, cette signification ne peut s’exprimer qu’au travers de la logique des « six systèmes », dans leur « nature » (en lien avec les 8 principes) et leurs « principe de traitement » correspondant à l’usage des prescriptions dans le Shāng Hán Zá Bìng Lùn (Traité des lésions du froid et des maladies diverses).

Que se passerait-il sans une compréhension profonde de ces théories ?

Si nous considérions que la pathologie est uniquement à la « surface », notre principe de traitement en toute logique ne pourrait qu’être de « libérer la surface par la sudorification ». Ce faisant, nous lèserions les liquides et l’énergie vitale du patient, ce qui pourrait augmenter les phénomènes de chaleur interne.

Si nous comprenions la pathologie comme uniquement dans l’interne, nous « clarifierions » cette chaleur, sans nous soucier de la surface, et nous pourrions ainsi faire pénétrer le pervers encore un peu plus dans l’interne, aggravant ainsi la pathologie.

Enfin, si nous éludions les autres principes thérapeutiques qui ont mené à la guérison : « la tonification et la dispersion », soit une « harmonisation » qui guérit le « mi-externe/mi-interne », pourrions-nous espérer guérir notre patient ?

L’absence d’un de ces aspects, mènerai au mieux à une faible efficacité, au pire, à une aggravation de la situation du patient.
 

Deuxième étape : la nature

Nous avons localisé la pathologie… Quelle est la « nature » de celle-ci ?

Sommes-nous dans un tableau Yīn, ou bien Yáng, de chaleur ou de froid, de vide ou de plénitude, (interne ou externe est déjà résolu par les six systèmes) ?

Pour un œil avisé la réponse est ici évidente : L’ensemble des éléments montre que le patient est dans un tableau général Yáng. Nous allons voir pourquoi avec comme exemple l’analyse des symptômes chaud-froid afin d’illustrer la méthode.

Motif de consultation : faible fièvre depuis trois jours, à 37,8°C, toux avec mucosités.

Symptômes : bouche amère, gorge qui gratte, toux, mucosités collantes, nez bouché, éternuements, transpiration, dysphorie-agitation (c’est-à-dire une forme de nervosité/agitation).

Langue : pointe rouge, enduit blanc, légèrement glissant.

Si nous regardons les symptômes certains peuvent être classé en chaud, ni chaud-ni froid, froid :
 
- Chaud : bouche amère, dysphorie agitation, pointe rouge, faible fièvre (à voir contexte)
- Ni chaud-ni froid = toux, mucosité, nez bouché, éternuement, transpiration, enduit blanc (signe d’une langue normale), pouls glissant.
- Froid : faible fièvre (à voir contexte)
 

Dans la pratique, d’aucun chercherait à pousser plus loin l’analyse des facteurs de vide et de plénitude, la présence ou non de symptômes clefs présents dans d’autres systèmes… Tous ces aspects, trop longs pour un simple article,sont bien entendus traité de façon approfondie dans des cours dédiés.
 

Avec cet exemple, il est facile de comprendre qu’il s’agit d’une surface Yáng, d’un mi-interne mi-externe Yáng, et d’un interne Yáng, avec la présence subsidiaire d’humidité (ou de mucosités, ni chaudes, ni froides).

Etape 3 : syndromes/prescriptions

Il nous reste enfin à sélectionner une formule qui puisse s’adresser à nos trois niveaux ainsi qu’à nos symptômes.

Regardons de plus près la formule choisie par le thérapeute :

Dǎng Shēn 党参 (Radix Codonopsitis Pilosulae) 10g, Chái Hú 柴胡 (Radix Bupleuri)15g, Huáng Qín 黄芩 (Radix Scutellariae Baicalensis) 9g, Zǐ Sū Yè 紫苏叶 (Folium Perillae Frutescentis) 10g, Qīng Bàn Xià 清半夏 (Rhizoma Pinelliae Ternatae) 9g, Zhì Gān Cǎo 炙甘草 (Radix Glycyrrhizae Praeparata) 9g, Má Huáng 麻黄 (Herba Ephedrae) 6g, Shēng Shí Gāo 生石膏 (Gypsum Fibrosum) 18g, Chén Pí 陈皮 (Epicarpium Citri Reticulatae) 10g, Chǎo Kǔ Xìng Rén炒苦杏仁 (Semen Pruni Armeniacae) 10g, Shēng Jiāng 生姜 (Rhizoma Zingiberis) 9g, Dà Zǎo 大枣 (Fructus Zizyphi Jujubae) 15g

Lorsque nous analysons la prescription d’un praticien, il nous faut employer une faculté importante : celle de reconnaître à partir des plantes et des posologies les formules utilisées.

Ici, il y a deux formules principales :  Xiǎo Chái Hú Tāng 小柴胡汤 (Petite décoction de Radix Bupleuri) et Má Xìng Shí Gān Tāng 麻杏石甘汤 (Décoction de Herba Ephedrae, Semen Pruni Armeniacae, Gypsum Fibrosum et Radix Glycyrrhizae), plus Chén Pí 陈皮 (Epicarpium Citri Reticulatae) et Zǐ Sū Yè 紫苏叶 (Folium Perillae Frutescentis), que nous retrouvons avec quelques modifications de posologies.

 

Composition originelle de Xiǎo Chái Hú Tāng 小柴胡汤 :

Chái Hú 柴胡 24克 (半斤), Huáng Qín 黄芩 9克 (3兩), Rén Shēn 人参 9克 (3兩), Zhì Gān Cǎo 炙甘草 9克 (3兩), Shēng Jiāng 生姜 9克 (3兩), Dà Zǎo 大枣 12枚, Bàn Xià 半夏 9克 (半升)
+

Composition originelle de Má Xìng Shí Gān Tāng (麻杏石甘湯) :

Má Huáng 麻黄 去節 9克 (4兩), Shí Gāo 石膏 碎,綿裹 18克 (8兩), Xìng Rén (杏仁) 去皮尖 9克 (50枚), Gān Cǎo 甘草 炙 6克 (2兩)

 

Le syndrome :

Pour comprendre notre patient il nous faut nous référer au Shāng Hán Lùn 伤寒论 (Traité des lésions du froid).

Ce passage va nous éclairer :

(162) "下後,不可更行桂枝湯;若汗出而喘,無大熱者,可與麻黃杏子甘草石膏湯。"

« Après une purgation (1), il ne faut pas répéter Guì Zhī Tāng (桂枝湯) (2). Si [il y a] transpiration et dyspnée sans grande fièvre (3), on doit employer Má Xìng Shí Gān Tāng (麻杏石甘湯) (4. »

Cette citation nous confirme la bonne stratégie à employer dans le cadre d’une pathologie impliquant le Tài Yáng et le Yáng Míng. Il nous indique qu’il faut traiter simultanément la « surface » et « l’interne ».

Quelques explications sur ce paragraphe :

  • (1) Il est dit : « après une purgation, il ne faut pas répéter Guì Zhī Tāng (桂枝湯) », ce qui signifie que la pathologie est déjà rentrée dans l’interne. Cela correspond chez notre petit patient à l’agitation dont il souffre, signe que l’interne yáng, le yáng míng » est impliqué.
  • (2) Dans ce passage la surface n’est pas pour autant libérée puisque Zhāng Zhòng Jǐng 张仲景 (l’auteur du Shāng Hán Lùn 伤寒论), envisage l’emploi de Guì Zhī Tāng… et emploie Má Huáng 麻黄 (Herba Ephedrae), une substance iconique pour libérer la surface. Chez notre patient c’est le nez bouché, et les éternuements qui signent que la surface n’est pas libérée.
  • (3) Dans la citation le patient souffre également de « transpiration et dyspnée, sans grande fièvre » tout comme notre patient qui est atteint de transpiration, toux, mucosités collantes, faible fièvre depuis 3 jours, à 37,8 °C (sans grande fièvre). 
  • (4) « On doit employer Má Xìng Shí Gān Tāng », ce que notre thérapeute respecte.

Si nous devions résumer en quelques mots Má Xìng Shí Gān Tāng :

  • Má Huáng traite la surface, mais va être tempéré dans son action sudorifique par
  • Shí Gāo qui, lui, traite le Yáng Míng
  • Xìng Rén qui traite la toux.

Notre surface, notre interne, nos symptômes sont traités…

Mais souvenons-nous, nous avions également des symptômes d’un « mi-externe/mi-interne ». La « bouche amère, la gorge sèche » est notre « Bàn Biǎo Bàn Lǐ (半表半里) »… Le prescripteur ici, avec beaucoup d’audace, va traiter ce « mi-externe/mi-interne » avec la formule emblématique du Shǎo Yáng : Xiǎo Chái Hú Tāng 小柴胡汤.

Cette méthode clinique est assez inhabituelle dans le Shāng Hán Lùn. Associer une formule de la famille Má Huáng Tāng 麻黄汤 (Décoction de Herba Ephedrae) avec Xiǎo Chái Hú Tāng 小柴胡汤 n’est pas une utilisation « classique » que nous retrouvons dans le Shāng Hán Lùn. Pourtant, ici, c’est bien le traitement qui a réussi à soigner notre patient, grâce à une compréhension fine du système du Shāng Hán Lùn que les résultats cliniques confirment.

Il nous reste à expliquer l’ajout de deux plantes :

Pourquoi ajouter Zǐ Sū Yè 紫苏叶 (Folium Perillae Frutescentis) et Chén Pí 陈皮 (Epicarpium Citri Reticulatae) ?

Ici, l’action de libérer la surface est pour l’instant très faible. Car l’effet de Má Huáng 麻黄 prescrit dans une posologie moyenne de 6g (une posologie haute correspond à 10 g) est pondéré par Shí Gāo 石膏 qui diminue l’action sudorifique de Má Huáng 麻黄.

Zǐ Sū Yè 紫苏叶 va donc avoir deux rôles :

  1. Il viendra renforcer l’action pour libérer la surface et renforcer Má Huáng 麻黄 dans son action sudorifique.
  2. Il va venir soutenir le traitement des mucosités.

L’association Zǐ Sū Yè 紫苏叶 et Bàn Xià 半夏 se retrouve dans la fameuse formule Bàn Xià Hòu Pò Tāng 半夏厚朴汤 (Décoction de tuber Pinelliae et cortex Magnoliae) qui traite le syndrome du « qì du noyau de prune » (une sensation de quelque chose coincé dans la gorge) causée par la stagnation de qì et de mucosités. Cette formule aide à traiter les sensations d'oppression dans la poitrine et la gorge dans le cadre d’une atteinte de la surface et la présence de mucosités.

Notons que Zǐ Sū Yè 紫苏叶 en association avec Xìng Rén 杏仁 disperse le froid, libère la surface, arrête la toux et transforme les mucosités; avec Shēng Jiāng 生姜, arrête l’inversion de qì ; avec Chén Pí 陈皮, arrête la toux, transforme les mucosités, harmonise l’estomac.

Ce sont donc des ajouts qui renforcent le traitement des symptômes de mucosités et de toux qui sont sous-jacents dans le tableau clinique du patient.

Conclusion

Nous avons vu avec cet exemple combien la dynamique de la pathologie est au centre de l’approche clinique des Jīng Fāng.

Pour devenir un meilleur prescripteur de pharmacopée chinoise, il n’est pas nécessaire de passer plusieurs décennies à étudier mécaniquement les indications des plantes et des formules. Cette manière de procéder a détourné la plupart de nos confrères d’un des joyaux de la tradition médicale chinoise.

Ce qu’il nous faut c’est avant tout comprendre les mécanismes de mouvement et de localisation de la pathologie. Grâce à cela nous sommes en mesure de déterminer avec précision où se situe le déséquilibre et comment il évolue dans l'organisme, condition sine qua non pour faire face à la réalité clinique de nos patients. Il nous faut également saisir l’essence de la pharmacopée grâce à une méthodologie. Enfin il nous faut appliquer cette compréhension à la pratique, car seule l'expérience clinique nous permettra de confirmer et d'affiner nos connaissances théoriques, nous conduisant à plus d’efficacité et de résultats.

La présentation de cas, m’a permis d’illustrer comment une approche intégrée, combinant une analyse détaillée des symptômes avec une compréhension profonde des formules classiques, peut nous guider dans l’étude et l’application de la pharmacopée. J’espère de tout cœur avoir su transmettre mon engouement et avoir fait honneur à ce système qui m’anime. Peut-être que cet article saura en inspirer d’autres, qui comme moi, sont en quête de plus de sincérité et d’efficacité.

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