Bonjour Philippe,
Suite à la super formation que nous avons eu ce week end, j’ai deux questions en relisant mes cours :
1) on sait que l’on considère qu’il y a ménorragie au delà de 90ML de Sang menstruel perdu.
Quelle la fourchette de quantité normale de sang menstruel ? (la medecine occidentale nous dit entre 40 et 60ml).
Et donc aussi en dessous de combien de ml considère-t-on qu’il y a oligoménorhée ?
2) Pour les formules de pharmacopée que tu nous as recommandé en fonction des différents syndromes, pouvons nous donner la recette à notre consultante et lui dire de demande en poudre concentrée ? ou cela doit être obligatoirement en décoction ? Comme je ne suis pas formée à la pharmacopée je ne veux pas faire de bêtises… mais en même temps je trouverais ca bête de ne pas recommander les formules si ma consultante correspond parfaitement bien à un syndrome.
Merci et belle journée ☀️
Mélanie,
1) on sait que l’on considère qu’il y a ménorragie au delà de 90ML de Sang menstruel perdu.
Quelle la fourchette de quantité normale de sang menstruel ? (la medecine occidentale nous dit entre 40 et 60ml).
Et donc aussi en dessous de combien de ml considère-t-on qu’il y a oligoménorrhée ?
On utilise les mêmes repères en gynécologie traditionnelle chinoise contemporaine.
2) Pour les formules de pharmacopée que tu nous as recommandé en fonction des différents syndromes, pouvons nous donner la recette à notre consultante et lui dire de demande en poudre concentrée ? ou cela doit être obligatoirement en décoction ? Comme je ne suis pas formée à la pharmacopée je ne veux pas faire de bêtises… mais en même temps je trouverais ca bête de ne pas recommander les formules si ma consultante correspond parfaitement bien à un syndrome.
Tu peux donner sous forme de décoction, sous forme de poudre fine à avaler ou encore sous forme de poudre concentrée. En fonction de la galénique choisie, tu dois adapter les posologies. Dans le cours, comme je l’avais précisé, il s’agit de posologies journalières, pour décoction, pour une adulte.
Je ne te conseille pas de prescrire avant d’avoir étudier la pharmacopée. C’est plus sûr pour tes patientes et toi-même que tu saches ce que tu fais. Je t’invite à approfondir vraiment le sujet avant de te lancer dans la prescription.