À propos du ciel antérieur (xian tian 先天) et du ciel postérieur (hou tian 后天) – Partie 9

Physiologie médicale et physiologie alchimique - deuxième volet

Par Robert Hawawini

 

Introduction

Dans le 1er volet de la huitième partie, j’ai développé différents aspects de la physiologie chinoise comparée à la physiologie alchimique. Dans ce 2nd volet, je vais continuer sur cette lancée en exposant les fonctions d’« ouverture » (kāi), « fermeture » (hé ) et « pivot » (shū ) des trois Méridiens yin et yang appariés par deux pour leur fonction de lutte contre les Énergies perturbées externes (waixieqi). Rendant compte de cet appariement, l’expression Grands Méridiens (GM) a été inventée en Occident. Nous allons la garder pour faciliter la compréhension de l’article.

Les références textuelles sont le Lingshu, 5 et le Suwen, 6. Signalons d’emblée que si les termes « ouverture » et « fermeture » font l’unanimité des traductions, celle du troisième terme varie selon les auteurs. Dans sa traduction du Lingshu, Ming Wong (1) choisi « pivot », expression que nous allons garder ; Claude Brun (2), « charnière » ; André Duron sur une édition non publiée, « axe de communication ». Constatons que l’esprit de la troisième dénomination reste le même. On compare les fonctions à une porte qui s’ouvre et se ferme en pivotant sur ses charnières qui constituent un axe de communication. Nous allons encore considérer que l’expression « commandement central » faite par André Duron dans sa traduction du Suwen (3) reste dans cet esprit. Enfin, Albert Husson, traduit bien « charnière » dans son Suwen (4). Cependant, au sein du Neijing, le Lingshu seul donne quelques mécanismes physiopathologiques dont nous allons nous servir.

Fonctions des 6 méridiens (dit grands méridiens)

Taiyin constitué des Méridiens de la Rate et du Poumon, et taiyang comprenant les Méridiens de la Vessie et de l’Intestin Grêle, régissent l’« ouverture ».

Jueyin constitué des Méridiens de l’Enveloppe du Cœur (5) (xinbao) et du Foie, et yangming comprenant les Méridiens de l’Estomac et du Gros Intestin, régissent la « fermeture ».

Shaoyin constitué des Méridiens des Reins et du Cœur, et shaoyang comprenant les Méridiens de la Vésicule Biliaire et du Triple Réchauffeur (sanjiao), régissent le « pivot ».

Ces fonctions n’ont aucun rapport avec le schéma habituel reproduit dans les cours où la « fermeture » du jueyin se trouve au centre, entre l’« ouverture » du taiyin en haut et le « pivot » du shaoyin en bas, alors qu’on imagine que celle-ci devrait se situer au centre, comme le « pivot » du shaoyang.

Taiyin l’« ouverture » de la Rate et du Poumon

En physiologie chinoise, la Rate avec l’Estomac est la source de production du qi, des Liquides (jinye) et du Sang du Ciel postérieur (houtian). Elle ascensionne le Pur (qing) dans le Réchauffeur supérieur (shangjiao) et les Orifices supérieurs (shangqiao), conjointement à l’Estomac qui abaisse l’Impur (zhuo) dans le Réchauffeur inférieur (xiajiao) et les Orifices inférieurs (xiaqiao). Lorsque le Pur (qing) est ascensionné, les Orifices supérieurs (shangqiao) sont correctement ouverts. La perception de l’environnement extérieur et intérieur est assurée : l’extérieur pour la relation interhumaine, il s’agit de physiologie médicale ; l’intérieur pour la relation intra-humaine, il s’agit de physiologie alchimique.

 La place centrale de la Rate est pourvue, autant physiologiquement que psychiquement. L’Esprit (shen) du sujet s’ouvre alors à toutes les potentialités ; il respecte toutes les opinions ; il reconnaît les siennes tout en laissant une place à celles des autres. Les taoïstes disent que tout est vrai et faux en même temps. Ce qui est vrai à un niveau de compréhension est faux à un autre et inversement. C’est l’irrévocable réalité de l’enfermement de notre activité psychique dans la dualité, à l’instar du yin et du yang. Aussi, n’est-il pas impossible que deux personnes aient des opinions tout à fait contraires sur un même sujet tout en ayant chacune raison pour elles.

 Conséquemment, ascension du Pur (qing), ouverture des Orifices supérieurs (shangqiao) et place centrale de la Rate sont interdépendants. Ils pourvoient à une pensée correcte en accord avec le Destin (ming) de l’individu. Ce qui intéresse la physiologie médicale se répercute directement en physiologie alchimique. L’inverse est donc vrai ! C’est uniquement parce qu’un aspect de sa physiologie a changé qu’un cheminant peut affirmer l’authenticité d’une Transformation (hua) dans son travail alchimique.

En physiologie médicale, le Poumon stocke, répartit – abaisse surtout – et clarifie le qi. Appartenant au Poumon, le Métal est une métaphore. Elle signifie la solidité de l’Énergie interne (neiqi) ou Souffle. En Français, on retrouve cette correspondance dans des expressions comme « santé de fer », « mental d’acier » pour signifier une personne forte physiquement et psychiquement. Le Métal appartient encore à l’automne, saison où la nature s’intériorise à l’instar de ce que devrait être l’Énergie interne (neiqi). Aussi, s’identifier à l’automne est rentrer à l’intérieur de soi en prenant appui sur le qi du Poumon.

Toutes les techniques énergétiques, méditation comprise, prennent pour support le mouvement du Souffle (qi). Référons-nous à la métaphore du sablier projeté sur la gorge. Au-dessus, la partie évasée vers le haut répond à la parole, pensée comprise. En dessous, la partie évasée vers le bas s’accorde au Souffle (qi). Le goulot central est les cordes vocales. Parole/pensée et Souffle (qi) sont en miroir. Ce que l’un oriente vers l’intérieur dans un mouvements centripète, l’autre projette vers l’extérieur dans un mouvement centrifuge. Point d’espoir de rentrer à l’intérieur de soi en s’identifiant aux pensées, ni aux émotions par ailleurs. Elles nous maintiennent à l’extérieur de nous-mêmes dans notre enveloppe corporelle. Seul le déplacement de la conscience des pensées vers le Souffle (qi) ouvre la porte vers l’intérieur. Le Poumon du taiyin est bien une « ouverture » et complète parfaitement les fonctions de la Rate vues. L’ouverture vers l’intérieur en est une vers l’extérieur : une porte ouverte permet de rentrer et sortir. Évoquer en physiologie médicale le stockage, la répartition et la clarification du qi est de même nature que vivre l’ouverture de ses Orifices supérieurs (shangqiao) vers l’intérieur en physiologie alchimique. Il s’agit alors d’une vision immatérielle s’entend, pénétrante, holistique, subtile des mondes micro et macrocosmiques. Personne ne peut la détailler. Elle se vit par expérience directe, immédiate, en dehors de toute participation cognitive. En alchimie occidentale, il s’agit de l’œuvre au blanc. Il n’est pas étonnant que son animal symbolique soit l’aigle ; dans l’Égypte pharaonique, le faucon.

 Yangming la « fermeture » de l’Estomac et du Gros Intestin

En physiologie médicale, la « fermeture » signifie que la richesse en Sang et en qi du yangming ferme le Corps (shenti) aux influences néfastes, tant externes climatiques ; qu’internes, liées aux excès des Émotions-Sentiments (qingzhi). La réduction de ces excès témoigne encore de la puissance de l’Esprit (shen), de la santé et de la longévité, du retrait nécessaire à l’accomplissement de la vie. La Plénitude de l’Estomac agit de concert avec la Rate dont la position centrale a permis l’« ouverture » vers l’intérieur, tandis que le Poumon en a été la porte d’entrée lors d’un travail sur soi.

 À partir d’une fonction commune, la source de production du qi et du Sang du Ciel postérieur (houtian), la Rate ouvre, l’Estomac ferme. On pourrait penser que leur action est contraire, or, pas du tout. La « fermeture » du Corps (shenti) est une « ouverture » de l’Esprit (shen) et inversement : le yin de celui-là et le yang de celui-ci s’interpénètrent. On constate que les physiologies médicales et alchimiques se superposent.

 Jueyin la « fermeture » du Foie et de l’Enveloppe du Cœur (xinbao)

Le Foie assure la libre circulation du Sang et du qi, il stocke et réparti le Sang. L’Enveloppe du Cœur (xinbao) représente les Vaisseaux (mai). Le jueyin est riche en Sang, support de l’Esprit (shen). Enveloppe du Cœur (xinbao) et Foie constituent le 2e Feu, le Feu ministre (xianghuo). Celle-là reçoit les perturbations à la place du Cœur (Lingshu, 2), celui-ci est la demeure des ou du hun [Âme céleste] (6) qui « va-et-vient » avec le shen [Esprit] (Lingshu, 8).

 Dans les Cinq Substances (wuqi), associé au Foie, le Sang est affaibli par les excès des Sept Sentiments (qiqing). Quand le Sang rempli le Foie, le hun [Âme céleste] y est fixé et informe conformément l’Esprit (shen) : ils « viennent » ensemble. D’une part, le qi qui est le commandant du Sang, assure leur libre circulation. On dit pour cela que le Foie assiste l’activité psychique du Cœur en la fluidifiant. D’ailleurs dans les Cinq Mouvements (wuxing), le Foie est la mère du Cœur. D’autre part, le sujet filtre les informations extérieures avec discernement pour qu’elles soient traitées correctement par l’Esprit (shen). Discerner veut dire prendre la distance nécessaire par rapport aux évènements extérieures. Ce retrait étant acté, les Sentiments (qing) sont apaisés, l’Enveloppe du Cœur (xinbao) est stable. Le cheminant est concentré, rassemblé. On peut dire que la « fermeture » du yangming réalise avec le qi et le Sang dans le Corps (shenti), ce que la « fermeture » du jueyin accompli sur le plan de l’Esprit (shen) avec le Sang.

Revenons au Foie. L’œil et la vision y sont rattachés. Il s’agit autant d’une vision physique que symbolique. Elle permet de voir près, c’est le discernement et de voir loin, c’est le propre des prophètes et des visionnaires. Ils ne prédisent pas l’avenir, ils déchiffrent le présent ! À partir des mécanismes actuels dont ils ont une intuition, une clairvoyance pénétrante et subtile, on retrouve là l’« ouverture » du taiyin, ils savent que le présent va se répéter. On voit bien que vision physiologique, médicale et subtile, alchimique, sont étroitement liées.

Shaoyin le « pivot » des Reins et du Cœur

Pour justifier leur fonction de « pivot », Reins et Cœur doivent avoir une fonction générale qui autorise de recevoir les « fermeture » et « ouverture » du côté yin. Les Reins sont la demeure de l’Essence (jing) yin et yang du Ciel antérieur (xiantian) qui se distribue à tout l’organisme. Le Cœur est le maître de toutes les fonctions de l’Esprit (shen) et du Corps (shenti). Les Reins sont la demeure de l’Eau (shui) ; le Cœur, du Feu (huo). L’Eau et le Feu sont à la source de toutes les Transformations (hua) : celle-là en tant que support yin du vivant, celui-ci en tant que pourvoyeur yang du mouvement et du réchauffement. Il ne reste plus qu’à ajouter le Souffle (qi) qui permet le mélange harmonieux de l’Eau et du Feu pour nommer les Trois Trésors (sanbao) de l’Alchimie interne (neidan).

 Le shaoyin axe le Corps (shenti) par l’Essence-Esprit (jingshen) au sein duquel va se réaliser toutes les Transformations (hua) de la physiologie médicale et alchimique. Le shaoyin est bien un « pivot ». Sous la puissance de l’Esprit (shen)-Feu du Cœur, particulièrement le Feu empereur (junhuo) immobile, toutes les Transformations (hua) se font dans et par l’Essence (jing)-Eau des Reins. Autrement dit, Transformation (hua) de l’Esprit (shen) en physiologie alchimique et Transformations (hua) de l’Énergie (qi) en physiologie médicale passent toutes deux par l’Essence (jing) innée des Reins. Et nous rajoutons par celle acquise de la Rate. D’ailleurs, les deux seuls Viscères (zang) qui ont une fonction transformatrice sont les Reins avec la Transformation de l’Énergie (qihua) et la Rate avec la Transformation-Transport (yunhua).

Ce n’est pas rien de le dire car amener du taiyin dans le shaoyin est engager l’« ouverture » dans le « pivot », par la Rate vue et le Poumon qui, de surcroit, va abaisser le Souffle-(qi) dans les Reins. En communion avec ces mécanismes, le yangming va amener la richesse en Sang et en qi pour fermer le Corps (shenti) afin de faciliter l’œuvre alchimique. Parallèlement, le jueyin va faire de même sur le plan de l’Esprit (shen) qu’il va concentrer, rassembler grâce au hun [Âme céleste], par l’intermédiaire du Sang et de l’Enveloppe du Cœur (xinbao). Pas de Transformation (hua) physiologique et alchimique sans Essence (jing), le « pivot » qui va recevoir l’« ouverture » et la « fermeture » conformes - ou pas ! -.

 Shaoyang le « pivot » de la Vésicule Biliaire et du Triple Réchauffeur (sanjiao)

Comme précédemment, pour justifier leur fonction de « pivot », Vésicule Biliaire et Triple Réchauffeur (sanjiao) doivent avoir une fonction générale qui autorise de recevoir les « fermeture » et « ouverture » du côté yang. La Vésicule Biliaire est la seule Entraille (fu) qui thésaurise, en l’occurrence la bile. Le Suwen, 8 considère qu’elle « donne les ordres » (7) ou est « l’arbitre des décisions » (8) de tous les Organes (zangfu). On retrouve encore « décision, détermination » (9). Toutes ces traductions sont équivalentes. Comme donner un ordre est agir, décider, on ne s’étonne pas de trouver le Vide de qi de Cœur et de Vésicule Biliaire dans les Syndromes (zheng) de la Peur-Frayeur (jingkong). Le Triple Réchauffeur (sanjiao) est la Voie de l’Eau (shuidao) et la voie de circulation de l’Énergie originelle (yuanqi). Ainsi, par ses fonctions générales, on peut affirmer que le shaoyang est bien un « pivot » où « ouverture » et « fermeture » vont trouver de quoi s’exprimer, correctement - ou pas ! -.

 Il y a d’ailleurs un riche mélange entre différentes fonctions organiques apprises différemment et se correspondant intrinsèquement. Par exemple, le Feu (huo) peut être le Cœur pour l’Empereur (jun) et le Ministre (xiang) pour le Foie, la Vésicule Biliaire, les Reins, le Triple Réchauffeur (sanjiao), l’Enveloppe du Cœur (xinbao). Des auteurs y associent la Rate et l’Estomac, on ne voit pas d’ailleurs pourquoi n’y figureraient-ils pas. L’Eau (shui) est à l’Essence (jing) des Reins et aux Liquides (jinye) du Triple Réchauffeur (sanjiao). Les Reins, le Triple Réchauffeur (sanjiao) et la Vessie forment une unité fonctionnelle (Lingshu, 2). On constate-là que ; d’une part, les fonctions des Organes (zangfu) et Méridiens (jingmai) ; d’autre part, les fonctions des GM sont étroitement emmêlées. La physiologie alchimique mettant en action l’Esprit (shen), le Souffle (qi) et l’Essence (jing) s’imbrique complètement avec la physiologie médicale des Viscères (zang) et Entrailles (fu) vues.

Taiyang l’« ouverture » de la Vessie et de l’Intestin Grêle

On ne peut raisonnablement penser que l’« ouverture » de la Vessie se limite au méat urinaire. Dans ce cas, on considèrerait que le rectum du Gros Intestin est une « ouverture », ce qui n’est pas le cas. Il ne s’agit pas de correspondance anatomique mais d’une subtilité fonctionnelle. Il faut envisager ici le double trajet du Méridien de la Vessie (zutaiyang) au dos qui reçoit les points Transports dorsaux (beishu) internes et externes. Ceux-là sont en rapport avec tous les Organes (zangfu) et autres fonctions telles que les Os (gu) avec dazhu 11V, le Vent (feng) avec fengmen 12V, le Dos avec dushu 16V, le Sang (xue) avec geshu 17V, les Liquides (jinye) avec sanjiaoshu 22V. Ceux-ci reçoivent les points Enracinement de l’Esprit (benshen) qui agissent sur les Cinq Esprits viscéraux (wuzangshen). Quant à l’Intestin Grêle, il sépare le Pur (qing) de l’Impur (zhuo). Le Pur (qing) va dans le Sang, tandis que l’Impur (zhuo) est éliminé par les Orifices inférieurs (xiaqiao) : les liquides par la Vessie et les solides par le Gros Intestin. Cette action est concomitante de la montée du Pur (qing) par la Rate et la descente de l’Impur (zhuo) par l’Estomac.

 Impliqué dans cette relation, comme la Rate, l’Intestin Grêle s’associe donc bien à une « ouverture ». Ne passons pas sous silence le point guanyuan 4RM, réunion entre les trois yin du bas et Collecteur (mu) de l’Intestin Grêle.

Quel rapport avec la physiologie alchimique ? D’une part, l’Intestin Grêle du taiyang est riche en Sang, support de l’activité mentale du Cœur ; d’autre part, ces deux organes font partie du Feu : l’un, le Cœur est l’Interne (li) ; l’autre, l’Intestin Grêle est l’Externe (biao). C’est d’ailleurs le Feu du Cœur qui permet à l’Intestin Grêle de fonctionner normalement. Toute action sur l’Organe (zang) du Cœur par l’Esprit (shen) se répercute automatiquement sur son Entraille (fu) et tous les mouvements qui intéressent le Pur (qing) et l’Impur (zhuo). Enfin, le Pur (qing) que l’Intestin Grêle sépare et va dans le Sang est ascensionné par la Rate dans les Orifices supérieurs (shangqiao) pour favoriser réflexion et compréhension subtiles. Il devient clair que les physiologies médicales et alchimiques sont interactives.

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Notes

 (1) Ling-Shu. Paris: Éditions Masson; 1987.

 (2) Les canons de l’acupuncture. Traduction française du « Huangti Nei Ching Ling Shu ». Lausanne: Éditions de l’Aire; 1988.

 (3) Su Wen. Première partie. Paris: Éditions Guy Trédaniel; 1991.

 (4) Huang Di Nei Jing Su Wen. Paris: Association Scientifique des Médecins Acupuncteurs de France; 1973.

 (5) Appelé à tort Maître du Cœur car, empereur, le Cœur n’a pas de maître, mais l’expression s’est pérennisée avec le temps.

 (6) Traduction approximative.

 (7) Duron André (traducteur). Su Wen. Première partie. Paris: Éditions Guy Trédaniel; 1991.

 (8) Husson Albert (traducteur). Huang Di Nei Ting Su Wen. Paris: Éditions ASMAF; 1973.

(9) Li Dexin (rédacteur en chef). Éditions Scientifiques du Hunan. RPC. Fondements théoriques de la médecine chinoise. Vol. 1 et 2. Paris: Institut Chuzhen de Médecine Chinoise (traduction); 2009.

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